Ece Homo !!!

Erectus

Sniffe de trop.

Dad, dis leurs

Aux dealers.

Ya pas d'raquet today.

T'es nice !

You rie cannes !

C'est pas fine !

No, No ! No !

I don' go

Jupe plissée

Echo

C'est pas mon style...

T'en as toujours fait d'trop l'dad

Toujours d'trop !

Faut pas dire dacc

Quand on a pas l'fond

Et qu'on peut pas

Même prononce

I will be back !

NNNNNNNNNNNNNNNNNNPacat mic...

Enfin ça fonctionn'pas mal.

M'y mettre j'ai eu un peu d'mal

Mais l'fun c'est quand

Tu trouves un mâle

Qui comprend qu'dalle.

Yeees ! Yeees !

NNNNNNNUndercover is very funny !

Pas s'la péter

V'la l'mot clé

Et zy-va fait péter la furie

Pour tous les bugs bunny.

Lorsque vous aurez

Réalisé cela

Vous jaillirez de

Votre toile

La matière prendra sa place

Et vous redeviendrez aériens

Même pas aériens

Car aérien se conçoit

Donc : je dirais même si…

Les mots sont toujours restrictifs

Impalpables.

NNNNNNNNNNNNNNN Voi iubesc

NNNNNNNNNNNNNNNllllNoroc !!!

Mais, pas bêcheuse

Ni égoïste

Surtout généreuse

Ioio à tellement tanné le père

Car ses sœurs en voulaient une aussi

Et qu’à ce qu’il paraît

Elles avaient vu un ange….

Donc opiniâtre, ne lâchant pas

Le pli de pantalon du père

Et avec sa déjà grosse voix :

Et les sœurs alors !!!

Donc le Pater Noster

Leur donna à chacune

Le 20 centimes.

Pendant que l’ange, (moi.)

À ce qu’il se disait entre filles.

Était rentré dans la voiture

Attendant sagement

Que le père

Finisse de parler avec les aînés.

Cette histoire pourra vous paraître un conte…

De fées, c’est le cas de le dire.

Mais je l’ai pourtant vécu

Et retrouvé d’abord Sarah

Qui évidemment était là

En transit comme les autres

Et undercover…

Bien avant la date.

Avec qui nous passâmes

Des moments «Artistiques»

Plus que rocambolesques

Puis bien plus tard Ioio

Avec qui…

Les raconter ferait l’objet

D’un roman à succès

Sex, Drug and Rock and Roll

Tout ça sur fond d’Art Dramatique.

Mais, faut dire que notre relation

Fût, même en discontinue…

Plus «soutenue»

Me premettrais-je de dire ...

Et attend maintenant, patiemment

Car je ne crois pas au hasard

J’attends de voir ce que me réserve l’avenir...

Vous allez me dire que je le dis souvent. Peut-être un peu trop à mon gré mais…

Tant pis puisque cela est par écrit.

nnnnnnnnJe vous aime.

Et toi ma Ioio puisque c’est à toi qu’est dédié cette petite bafouille.

nnnnnnnnnnnTe iubesc

nnnnnnnnnnnnnlși

nnnnnnnnllMi-e dor de tine.

Ioio au demeurant un peu soulagée

En un regard plus qu’allumé

«Voilà, là je suis un peu fatigué.»

Cette nuit là, sa dulcinée saisit

L’ampleur de l’incompréhensible

De cet être sortant d’où, elle ne savait

Et allant où. ?..

Elle ne voulait même pas l’imaginer.

Un O-V-N-I selon sa propre pensée.

Pourtant plus que rationnelle Ioio.

D’une rationalité...

À ébranler tous les philosophes

Et donc toute philosophie.

Mais donc :

Un O-V-N-I

Organe-Vivant-Nulle part-Incognito.

Ou :

Organe-Vivant-Nébuleusement-Incoercible.

Ce fut là draga mea : Une nuit, La nuit !

Complètement ailleurs.

Hors espace, hors temps !

Désolé pour la toile draga.

Je me suis un peu laissé aller.

Mais la joie était grande

Et j’étais "No Limit."

Tout aurait pu s’écrouler

Tout aurait pu s’arrêter

C’était !...

Enfin, comme j’ai coutume de dire :

Les mots sont par eux même restrictifs donc…

NNNNNNNNNNNNNNTe iubesc

NNNNNNNNNNNNNNNNNși întotdeauna te voi iubi...

Cine ronrone, ronrone

Confortabil rostogolit

Pe perneilui de seninătate

Ochii pe jumătate închiși

Dinții sub favoriți

Labe crestătură de oprire

Gata la unsheathe

Armele lui cel mai...

Rapid și eficient

A planetei

Ele dimensiunea gât...

Cel mai aprig din fiare sălbatice

La nano secundă.

Mais jamais, jamais plus l’éternité.

Il a connu les profondeurs abyssales

Où là, tout était fractionné.

L’obscurité cloisonné.

Sans son

Sans Da !

Lit… Là !

Couche toi

Et dors !

Qui est le silence ?

Pas d’garde tout day !

Laid y est.

Traqué jusqu’au fond

De ses rêves artificiés

Plus d'Âme.

Tu veux d’la chaleur j’te crâme.

Tu veux du son

File moi l’avoine

Tu veux l’silence

Coupe le son et

Rends la monnaie.

Il a fait froid, très froid là-bas

Je ne sais où ?

Heureusement que ça vibre

Et que sur les ondes

Il a appris à surfer.

Peut importe la fraction

L’essentiel est…

De plonger dans l’abstraction.

Depuis l’espace n’existe plus.

De nouveau par hasard

Les constellations sont revenues

Le corps n’est plus.

L’ange fut déchu

L’être à présent

À brisé son mur

Et de nouveau

Il a poussé son cri

De l'imaginaire..

Fără sune

fără da !

Crin... lila !

Strat tu

și doarmi.

Cine este tăcerea ?

Nu păzește totul’day !

Urât acol’e.

Urmărite până la fundul

Din visele sale artificiés.

Mai mult suflet.

Vrei căldura

Te crame !

Vrei sunet ?

Da-mi ovăz !

Vrei tăcere ?...

Tăiat sunetlui

Și dă restul de bani.

Era frig, foarte frig acolo.

Nu știu unde.

Din fericire vibrează...

Și asta pe ondele

El a învățat să surf.

Nu contează fracția

Principalul lucru este...

Să se scufunze

În abstractizare.

De când această imersiune

Spațiul nu mai există.

Din nou orice întâmplare

Contelațiile s-au întors

Corpul nu este mai mult.

Îngerul a fost căzut

Fiinta acum are...

Rupt perete sa

și din nou a împins

Strigătul lui

A imaginarului.

Soit émis de leur bouche

Pleine de dents

Imitation requin.

Peut-être est-ce là

Une espèce non évoluée

De chez nous à qui...

Les dents sont restées

Trop grosses...

Pour leur mâchoire

Et c'est pour ça

Que les pauvres bébêtes

Ne peuvent pas articuler.

Par conséquent...

Comme ventre affamé n’a pas d’oreille

Sourds qu’ils étaient

Ces piranhas

l'phabêtes

À mes bulles de lait et de miel...

Je m’éclipsais tel le toréador

Face à cette vision dantesque

D’un taureau des milles et unes mers

Jumpant comme le dauphin mon cousin

Pour retrouver le calme et la chair fraiche.

Afară.

Imitație de rechin.

Poate este aici

O specie nu avansat

De la noi ?

La care au rămas dinții

Prea mari

Pentru maxilarul lor

Și de aceea

Că fiarele sărarace

Ele nu pot articula.

Prin urmare

Ca burta

înfometat...

Nu are ureche

Surd au fost

Aceste piranha

Nalfabet

La bule mele

Lapte și miere



Eu me sunt eclipsat

Ca toreierul

Confruntat cu această viziune dantescă

A unui taur de o mie și una de mări

Jumpant ca delfinul vărul meu

Pentru a găsi din nou ..

Calm

Și carne proaspătă.

Mort je t’entends

Mort je t’attends

Mon rêve murmure

Mon rêve est patient

Vie je te cri

Mon arrêt est à cran !

Amour je t’ai deuillé.

Rêve résonne

Résonne à mes tympans.

Tout mon amour te rêve

Tout au fond de mon dément

Ciel là, rêve ri !

La mort fait l’amour

Avec lui.

Je ri de me voir si mort

En ce mi rêve

Je ri de me voir si rêve

En ce mi amour !

Ah mort !

Ah mour !

Il est difficile de mourir sans amour.

Mais consolons-nous :

Le rêve peut le remplacer.

Dans l’immensité d’un imaginaire désintégré, le tout possible cesse d’exister. C’est à ce moment là que : Amour et Rêve se fondent dans un univers chaotique d’où peut-être naîtra une pluie de météorites qui, s’abattra sur les tristes réalités.

NNNNNNNNNNAmour je t’aime !

NNNNNNNNNNRêve je te joue !

NNNNNNNNNNMort je te danse !!!...

Mort te aud

Mort te aștept

Visul meu murmur

Visul meu este răbdător

Viata îți strige

Oprirea mea este la marginea crestăturii !

Dragoste te am doliulat.

Visul rezonează

Răsună la timpanele mele.

Toată dragostea mea visează la tine

În partea de fundul a lunaticului meu

Raiul visul a ras.

Moartea face dragoste cu el.

Râd să mă văd atât de morti

În acest vis pe jumătate !

Râd să mă văd atât de vis

În această jumătate de iubire !

Ah mort !

Ah iubire !

E greu să mori fără iubire

Dar hai să ne consolăm

Visul îl poate înlocui.

În imensitatea unei imaginații Dezintegrate

Tot posibilul încetează să mai existe

Atunci este...

Iubirea și visele se contopesc într-un univers haotic

Unde poate se va naște un duș de meteoriți

Care va cădea pe tristele realități.

NNNNNNNNNNNNNNIubire te iubesc !

NNNNNNNNNNNNNNVis te joc !

NNNNNNNNNNNNNNMort te dansez !!....

Va ! Va ! Vers les peuplades

Inconnues d’une conscience nouvelle.

Va ! Va ! Brûle ta mèche !

Va ! Va ! Tire le canon !

Explose les peaux pierres.

Les pupilles en voie lactée

Les cils en eau de là

Sous les pluies sidérantes

De kyrielles de, mettez

Au rang car rite !

Pars à l’abordage des pensées oiseaux

Bas ri au lait

Haut sale pleureur.

Explose la saint’taxe !

Implose la gram’lavomatic !

Va ! Va ! Arrache toi de l’impossible

Va ! Va ! Jump dans l’inimaginaire.

Va ! Va ! Plonge dans le flot des improbables connections cérébrales.

Déconnecte la fausse réalité

Court-circuite l’œil qui trompe.

En vol toi !

En vol ! Éternellement !

Regiuni de inconștiență

Regiuni de nesăbuință

Du-te ! Du-te ! La triburi

Necunoscut a unui conștiință nemaiauzit.

Du-te ! Du-te ! Ardeți-vă fitilul !

Du-te ! Du-te ! Dă foc tunului !

Explodează piei de piatră.

Elevii ochiului tău

În calea Lactee

Genele de ochi

În apă de acolo

Sub ploile Sidérante

Din multitudinea de, pune…

La rang pentru că ritualul.

Nu, mulțumesc !

Mergi la bord gânduri de păsări !

Jos râzi la lapte.

Sus murdar plângătoare.

Saint'taxe explodeaza !

Implodează gramatic’lavomatica !

Du-te ! Du-te ! Smulge te a imposibilului

Du-te ! Du-te ! Jump în inimaginar.

Du-te ! Du-te ! Scufundați-vă în val

Din conexiunile creierului improbabil.

Deconecteazà realitatea falsă.

Scurtcicuiteazà ochiul care însealà.

În zbor tine !

În zbor la nesfârșit ! ! ! …

Sans A qui se dresse, sans porte.

Plus que le rythme

De son cœur au bord des lèvres.

Et impossible de crier

Trop bien éduqué.

Donc, il danse, Il danse devant une porte

Sans numéro

Sans chiffre

Sans lettre

Au milieu des images.

Leur tend les doigts,

Les frôle, compte :

Un deux, trois.

Et s’en va.

Me mimait bien sûr, les milles

Et une manières et préparations

Du fameux mic.

Excellent au demeurant.

Ci fait, je m'en retournais

Clopin clopan sur le chemin de la casa

Oui... Maison se dit casa là bas.

J’ai toujours aimé les langues

Donc papilles encore frémissantes

Et ventre souriant

Je franchissait sans bruit bien entendu (si j’ose dire.)

Allègrement le pas de la porte familiale

Où je retrouvais la Io de mon cœur

Ayant préparé un plat de Sarmale

Qui me pria de manière…

Un peu criée je dois dire.

Mais normal…

Vu ma situation oriculaire

De passer à table

Mon ventre à sourit lui dis-je

Je ne voudrait pas qu’il éclate de rire

Je vous laiss'imaginer la réaction de ma Io

Pour la deuxième fois de cette…

Belle journée

Car il faut tout d'même le souligner

Donc pour la deuxième fois

Exhorbitance de ses magnifiqus' yeux noirs

Et cett'fois j'n’ai pas bien compris

C’était du :

PiS DDD M...SSSS

FOUQ… TI Mmmm TTT Ahhhhh !!!

Enfin mon incompréhension

Étant telle

Que j'retournais à ma toile

Jusqu’à épuisement total…

Il s’agissait là d’une journée

Parmi tant d’autres

D’un romantisme effréné.

nnnnnnnnnnnnnnAh bon ...

nnnnnnnnnnJ'vai chercher un mic.

nnnnnnnnnnnnT'en veux un ???...

Le couteau, la spatule ou la truelle, sont très sexuels, cela me convient mieux que les pinceaux. N’en déplaise aux psys à deux balles. Quoiqu’il en soit soit, si l’on va par là, le pinceau aussi est très phallique comme symbole. Donc… Étant donné que le sexe est.. La vie. Et que la vie c’est de s’éclater, moi ce soir là, que dis-je ce soir là ? Cette nuit là, je me suis éclaté avec mes couteaux, spatules, truelles, tel un psychopathe dans un espace no limit ! Sans cette fois me poser la question de savoir où j’allais. Je grattais, je frottais,. Comme je le disais plus haut, les couleurs, les épaisseurs se confrontaient et par moment à l’issu d’un conflit ou pas, se mariaient

Une personne, à la vision de cette toile, à eut cette réflexion plutôt amusante : Confiant sur un ton entendu et légèrement doctoral à ma Io, que ce qui apparaissait sur le tableau n’était autre que l’expression de ma libido.

J’avais envie de lui glisser aimablement : Ne vous êtes vous pas poser la question de savoir si votre interprétation n’est autre que la projection de votre libido personnelle ? Mais bon, mon vocabulaire dans la langue n’étant que rudimentaire et habitué à ce genre de réflexion par ce genre de pseudo intellectuel. Je me tu et feignis l’incompréhension.

Ben oui chacun voit ce qu’il veut bien voir dans une œuvre abstraite. D’autant que dans le cas de ce charmant jeune homme, il se trouve qu’il avait une formation "probablement basique" de psychologie.

À vos souhait jeune homme ! Désirez-vous un kleenex ?

Bien mais passons sur l’anecdote du bog dan'moi ton avis.

Et revenons-en à cette nuit, cette fameuse nuit où je l’ai joué "conective" avec ce qui ne pouvait l’être.. Ah la vibration mes amis ! La vibration ! Cela n’est pas un vain mot. Mais pour cela, il faut être ailleurs. Dans un ailleurs dont le mot doit être effacé de sa conceptuelle. Et là mes amis, ça vibre... De chaleur, de lumière, de son. Enfin un tout indescriptible. Où effectivement le corps n’existe plus et par conséquent la fatigue non plus.

Oui, cette nuit là, je l’ai fait et me suis couché à pas d’heure du pays, le cœur léger et l’âme réjouie. Avec cette espèce de rage sourde qui me prends lorsque que je finalise quelque chose dont je suis fier.

Je pouvais me coucher auprès de ma vampiroasa et croiser mes pieds avec les siens en signe de tendresse éternelle.